A l’automne 2011, J-F Copé, qui n'est pas un modèle de finesse, avait sorti la grosse artillerie pour dézinguer la primaire socialiste qui avait pourtant mobilisé, sans problème, près de 3 millions d’électeurs. Un an après, il organise en tant que secrétaire général de l’UMP , une élection interne qui a concerné 15 fois moins de citoyens et…. c’est un fiasco total.
A l’arrivée comme à l’école des fans tout le monde a gagné…. mais là, en plus, en trichant sans vergogne comme dans certains régimes africains. Les français passablement écœurés par les petites ambitions et magouilles politiciennes ne peuvent que se sentir confortés dans le rejet de cette classe politique largement composée, surtout à droite ,de gens qui ne souffrent pas particulièrement de la crise.
Le FN plus que le PS, peut se réjouir de cette guignolade lamentable à droite.
Edouard Serfati - Alès
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