vendredi 18 novembre 2011

Entre Batman et Caliméro

Quand il s’éloigne du texte de son scribe favori, Henri Guaino, Nicolas Sarkozy se laisse aller à son tempérament naturel et à sa rhétorique auto-glorificatrice.  On a droit à son exercice préféré d’autosatisfaction où il se présente, en permanence, en sauveur suprême. C’est  son coté héros de BD, un peu  puéril, à la Batman ou Superman qui agace ou amuse. Mais, en plus pour enfoncer le clou et bien montrer aux français la chance qu’ils ont d’avoir un chef d’Etat de sa valeur ; il se plaint régulièrement de l’action de ses prédécesseurs ou de ses concurrents potentiels. Là , c’est aussi son côté Caliméro qui transparait.  

Edouard Serfati - Alès

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