Quand il s’éloigne du texte de son scribe favori, Henri
Guaino, Nicolas Sarkozy se laisse aller à son tempérament naturel et à sa
rhétorique auto-glorificatrice. On a
droit à son exercice préféré d’autosatisfaction où il se présente, en
permanence, en sauveur suprême. C’est
son coté héros de BD, un peu puéril,
à la Batman ou Superman qui agace ou amuse. Mais, en plus pour enfoncer le clou et bien montrer aux français la
chance qu’ils ont d’avoir un chef d’Etat de sa valeur ; il se plaint régulièrement
de l’action de ses prédécesseurs ou de ses concurrents potentiels. Là , c’est
aussi son côté Caliméro qui transparait.
Edouard Serfati - Alès
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